Bonjour et bienvenue aux essais de la nouvelle Volkswagen Polo. Ce sixième opus est bien plus grand que l’ancien modèle puisqu’il mesure 8 cm de plus en longueur et 7 en largeur. Ça complique un petit peu les stationnements mais cela profite à l’habitabilité puisque on a un bel espace aux jambes à l’arrière et un coffre volumineux. Autre bonne surprise, la présentation est soignée avec des matériaux de belle facture et des touches de couleur, ce qui est nouveau sur la Polo. Fini la présentation austère : on a sur notre version d’essai un placage rouge mat qui égaie l’habitacle. La Polo peut recevoir les équipements high-tech de la Golf, notamment le régulateur de vitesse adaptatif, les systèmes multimédia perfectionnés, et même l’«Active info display», ce bloc d’instrumentation numérique qui remplace les compteurs classiques et qui permet une multitude d’affichages, notamment la carte GPS en 3D. C’est tout simplement unique dans la catégorie.
Côté moteur, on trouve des moteurs 3 cylindres essence et notre version turbocompressée de 95 ch est plutôt alerte. Sur les voies rapides, cette version est très à l’aise et permet de voyager sereinement même sur le 5ème et dernier rapport. Pour ne rien gâter, il est discret et boit peu : on a constaté moins de 6 litres aux 100 km à l’ordinateur de bord, un chiffre à vérifier plus tard sur notre bas de mesures à Montlhéry. On apprécie également le confort de la voiture qui est plutôt bien amortie : même si elle paraît un peu sèche au début, elle filtre bien les grosses aspérités. Au passage, malgré son gabarit de Golf d’il y a 20 ans, elle braque plutôt bien, se montre assez maniable. Les prestations globales sont donc globalement satisfaisantes, ce qui va permettre d’accepter en partie des tarifs au-dessus de la moyenne de la catégorie.
Côté moteur, on trouve des moteurs 3 cylindres essence et notre version turbocompressée de 95 ch est plutôt alerte. Sur les voies rapides, cette version est très à l’aise et permet de voyager sereinement même sur le 5ème et dernier rapport. Pour ne rien gâter, il est discret et boit peu : on a constaté moins de 6 litres aux 100 km à l’ordinateur de bord, un chiffre à vérifier plus tard sur notre bas de mesures à Montlhéry. On apprécie également le confort de la voiture qui est plutôt bien amortie : même si elle paraît un peu sèche au début, elle filtre bien les grosses aspérités. Au passage, malgré son gabarit de Golf d’il y a 20 ans, elle braque plutôt bien, se montre assez maniable. Les prestations globales sont donc globalement satisfaisantes, ce qui va permettre d’accepter en partie des tarifs au-dessus de la moyenne de la catégorie.
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