L’Ibiza est la citadine de Seat, concurrente des Clio, 208, C3, Polo, etc. L’année 2017 a vu arriver sa 5ème génération, disponible uniquement en 5 portes. La version 3 portes disparaît, de même que la déclinaison break pour ne pas gêner l’arrivée du petit SUV Arona. L’Ibiza 5 est quasiment aussi longue que sa devancière, mais gagne 9 cm en empattement. Elle repose d’ailleurs sur la plateforme des futures Polo ou A1. Les diesel ne sont pas encore arrivés dans la gamme qui se contente pour l’instant de blocs essence de 75 à 150 ch. Notre modèle utilise un 1 litre 3 cylindres turbo de 95 chevaux.
La planche de bord se pare de plastiques durs mais la qualité visuelle est bonne et l’assemblage sérieux, même si l’ambiance est austère : la finition Xcellence propose des inserts de couleur qui égayent l’ensemble. L’écran tactile de 8 pouces est en option avec la finition Style, de même que la climatisation automatique. L’un des gros atouts de cette nouvelle Ibiza vient de son habitabilité aux places arrière, nettement plus généreuse que celle des Clio et consort : deux adultes peuvent être à l’aise sur la banquette, même avec des grands devant. Le coffre est tout simplement le plus grand de la catégorie.
Le trois cylindres essence se montre discret, aussi bien en sonorité qu’en vibrations, même lors des interventions du stop and start. Il reprend bien un peu avant 2000 tours mais s’essouffle à l’approche de la zone rouge. Restez à bas et moyens régimes, c’est là qu’il donne le meilleur de lui-même. D’ailleurs, les reprises sont correctes malgré un étagement de boîte très long : on atteint 165 km/h en 3e ! Côté châssis, notre voiture chaussée de roues de 16 pouces s’est montrée un peu ferme à basse vitesse mais le compromis est réussi sur route où la voiture se montre réactive et saine.
En consommations, cette Ibiza est un peu plus sobre que la moyenne de la catégorie, mais certaines, dont la Clio TCe 90, font mieux. Pour le tarif, l’Ibiza essence 95 ch débute avec les 16500 € de notre version, hors option. A ce prix-là, le freinage automatique d’urgence est de série, de même que la climatisation manuelle. Mais l’alerte de franchissement de ligne ou le détecteur d’angle mort manquent à l’appel, même en option. Le groupe veut peut-être en laisser l’exclusivité aux prochaines Polo et A1, qui devront justifier leurs tarifs forcément plus élevés par plus de technologie…
La planche de bord se pare de plastiques durs mais la qualité visuelle est bonne et l’assemblage sérieux, même si l’ambiance est austère : la finition Xcellence propose des inserts de couleur qui égayent l’ensemble. L’écran tactile de 8 pouces est en option avec la finition Style, de même que la climatisation automatique. L’un des gros atouts de cette nouvelle Ibiza vient de son habitabilité aux places arrière, nettement plus généreuse que celle des Clio et consort : deux adultes peuvent être à l’aise sur la banquette, même avec des grands devant. Le coffre est tout simplement le plus grand de la catégorie.
Le trois cylindres essence se montre discret, aussi bien en sonorité qu’en vibrations, même lors des interventions du stop and start. Il reprend bien un peu avant 2000 tours mais s’essouffle à l’approche de la zone rouge. Restez à bas et moyens régimes, c’est là qu’il donne le meilleur de lui-même. D’ailleurs, les reprises sont correctes malgré un étagement de boîte très long : on atteint 165 km/h en 3e ! Côté châssis, notre voiture chaussée de roues de 16 pouces s’est montrée un peu ferme à basse vitesse mais le compromis est réussi sur route où la voiture se montre réactive et saine.
En consommations, cette Ibiza est un peu plus sobre que la moyenne de la catégorie, mais certaines, dont la Clio TCe 90, font mieux. Pour le tarif, l’Ibiza essence 95 ch débute avec les 16500 € de notre version, hors option. A ce prix-là, le freinage automatique d’urgence est de série, de même que la climatisation manuelle. Mais l’alerte de franchissement de ligne ou le détecteur d’angle mort manquent à l’appel, même en option. Le groupe veut peut-être en laisser l’exclusivité aux prochaines Polo et A1, qui devront justifier leurs tarifs forcément plus élevés par plus de technologie…
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